UNIVERSI POPULI, CHANTS SACRÉS À PRAGUE DU 12E AU 15E SIÈCLE

Les Cantiones Sacrae enregistrés ici proviennent de manuscrits du 12e au 15e siècle conservés au Couvent Saint-Georges et à la bibliothèque de l'université et du château de Prague. Des influences pan-européennes se font jour dans le panel de pièces enregistrées ici. Les Cisterciens et les Augustins ont amené d'Aquitaine des chants faisant aussi partie du répertoire de l'Ecole Notre-Dame à Paris. Enfin, la présence à Prague de Guillaume de Machaut au 14e siècle fut sans doute à l'origine du développement du motet.

Universi populi simul iam gaudete (cantio); Rorate celi desuper (introït); Salve virgo gloriosa (antienne tropée); Hac nube irrorante (cantio); Natus es/Quem pastores/Huius sit memoria (motet); Festivali melodia te laudamus O Maria (trope); Virga Iesse floruit (trope); Nobis est natus hodie de pura virgine (cantio); Salve pater optime (prose); Ad honorem sempiterni regis (trope); Lux vera lucis radium (hymne à Sainte Ludmilla); Sanctus - Deus rerum principium (trope); Deus omnipotens a morte resurgens (cantio); Surrexit Christus/ Angelus/ Christus (motet); Sequencia sancti evangelii/ In illo tempore (lecture); Nostra oicunda curia / Eya (motet); Sanctus (sanctus); Wenceslaus, dux gracie (repons de l'office de Saint Wenceslas); Castus mente corpore/ Preclaris ( repons et trope); Imperatrix angelorum (prose); Jesus dulcis mater bona (cantio); O florens rosa (antienne); O regina, lux divina (cantio)