Alex, comptable, et Béatrice, chauffeur de taxi, forment un couple sans histoire. Un soir, Alex se retrouve témoin d'un contrôle d'identité arbitraire. Alex refuse de se détacher du spectacle comme le lui intime un flic peu soucieux de sociabilité. Il est emmené au poste de police. C'est le début d'un engrenage absurde qui le mènera en institut psychiatrique.
Pour son second long métrage, Emmanuelle Cuau puise dans l'univers de Kafka et le transpose dans une France prise dans l'étau sécuritaire. En cela, "Très bien, merci" peut être lu comme un manifeste anti-Sarkozy. Sur un plan strictement cinématographique, l'oeuvre ne convainc pas. Pamphlétaire à l'excès, le scénario manque par moment de crédibilité. Quant à l'écriture du film, elle offre peu de surprises. Relevons néanmoins l'interprétation intéressante de Gilbert Melki.
Filmographies - Bande-annonce.
Avec
Réalisation
Production
Scénario
Équipe technique
- Bruno DE KEYZER : Photographie
- Jackie BASTIDE : Montage
- Véronique BARNÉOUD : Décor
- Marie-Fréd. DELESTRÉ : Costumes
- Emmanuel SOLAND : Prise de son
- Dorothée LISSAC : Costumes