SYMPHONIE 39,40

Après les symphonies 38 et 41 enregistrées en 2006, les symphonies 39 et 40 connaissent à leur tour un traitement énergique sous l'électrolyse d'un René Jacobs décidé. Les instruments anciens du Freiburger Barockorechester ne freineront en aucune manière un dynamisme et une fluidité qui se trouveront au contraire exaltés par un tempo dont la rapidité ne perd rien de sa crédibilité même si dans le menuet de la symphonie 39, elle atteint un niveau inhabituel. JL