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Pour ce vingt-deuxième album (le 20ème pour le compte d'ECM), Micus developpe des climats lents et solennels à tendance monacale. Car pour la première fois, depuis "Athos" [XM526M], Stephan Micus fait une nouvelle intrusion franche dans l'univers du christianisme d'orient.
Explicitement dédié à la figure de la Vierge Marie, ce disque offre ainsi sur un total de onze titres, six variations autour de prières grecques byzantines (datant du 7ème siècle). Six véritables poèmes chantés mis au service d'un album à structure symétrique alternant compositions principalement chorales (sa seule voix pouvant être enregistrée sur 22 pistes) et pièces purement instrumentales. Si les premières empruntent la tonalité grave et envoûtante de la liturgie orthodoxe, les secondes adoptent des accents propres aux musiques tant traditonnelles d'Extrême-orient que modales (du Moyen-Age) ou néo-classiques. Joués avec une mesure toute singulière la plupart des instruments rassemblés sont à cordes et originaires d'Asie : Inde, Pakistan, Tibet et même le Xinjiang chinois (auxquels il convient d'ajouter l'emblématique cithare bavaroise).
- Stephan MICUS Voix, Bavarian zither, Chimes
- Stephan MICUS Bells, Dilruba, Sitar
- Stephan MICUS Guitare acoustique, Gongs, Ney
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