Lorsque Beethoven meurt, son frère pense être le seul héritier. Mais, en fouillant les documents laissés par le compositeur, son factotum Schindler découvre un autre document reprenant les ultimes volontés du défunt: il légue tout à son "immortelle bien-aimée"... Pour Bernard Rose, la quête de l'amante inconnue est l'occasion d'une biographie musicale qui ne dupe personne. Dans "Amadeus" ou "Farinelli", les prétextes destinés à "dramatiser" le film n'ont pas empêché les réalisateurs de creuser plus profond. Ici, par contre, on ne nous explique jamais d'où Beethoven tire son génie, ni en quoi il est un génie, ni même s'il est un génie. Bien sûr, la musique est présente, mais l'auteur n'a toutefois jamais cherché à nous faire découvrir des aspects méconnus du compositeur. À défaut d'avoir réalisé le film qu'on était en droit d'attendre, Rose n'a rien négligé quant au choix des décors - différents sites de Prague - ni à celui du costumier: l'italien Maurizio Millenotti, responsable, entre autre, des bijoux - véritables! - destinés à parer les actrices.
Avec
Réalisation
Production
Scénario
Équipe technique
- Peter SUSCHITZKY : Photographie
- Daniel RAE : Montage
- Sir Georg SOLTI : Auteur de la musique
- Peter GLOSSOP : Prise de son
- Maurizio MILLENOTTI : Costumes
- Garth INNS : Effets spéciaux
- Jiri HLUPY : Décor
- John MYHRE : Direction