Albert Ayguesparse, pseudonyme d'Albert-Jean Clerck, (1900-1996) est un des auteurs belges les plus attachants de la littérature belge d'expression française. Avec d'autres écrivains - Malva, Meurant, Plisnier, Vandercammen - il fit partie du Front littéraire de gauche. Le présent roman traite de la guerre civile d'Espagne dans laquelle son personnage, Lionel Lortigier, est engagé comme combattant au sein des Brigades Internationales. La lutte contre le fascisme n'empêche l'amour et c'est dans une localité de Castille qu'il rencontre Aurora. Ce qui fait la richesse de l'oeuvre c'est qu'au-delà de la description des faits, l'auteur dévoile une vie d'homme : les impressions d'un moment rappellent des souvenirs. Le roman est une peinture faite de critiques sociales et de sentiments d'amour.
- François MAIRET Lecteur
- Albert AYGUESPARSE Ecrivain
- Jean-Claude BESSON-GIRARD Dessinateur
- 1 Introduction (CD 1)
- 2 Chap. I: Aurora
- 3 13 heures. Lazarik ne viendra pas
- 4 On ne peut pas dire
- 5 Décidément, la peur
- 6 Les trois hommes discutent
- 7 Chap II: Lionel Lortigier pénétrait
- 8 Lionel ne comprit pas
- 9 Des métallurgistes, des militants
- 10 Chatelain serra le bras de Lionel
- 11 J'attendais Steinfeld alors
- 12 Chap. III: Du seuil de la salle
- 13 Le soir, après le dîner, on parlait
- 14 Véronique aurait pardonné à Roland
- 15 Muette, la tête lucide et le coeur
- 16 Quand Lionel s'était assis en face d'elle
- 17 Exaspéré par cette conviction
- 18 Chap. V: Depuis que je connaissais
- 19 Avec une fièvre gloutonne
- 20 Là-dessus est arrivée la rébellion
- 21 Qui a dit: "La foi rejetée.."
- 22 Je voulais tout détruires
- 23 Chap. VI: Pas question de... (CD 2)
- 24 Les minutes, par petits sauts
- 25 Chap. VII: On dîne à sept heures
- 26 S'il arrive qu'on dénigre
- 27 Quand elle a fini d'aider
- 28 Mais ce soir-là
- 29 Tout s'est passé très vite, trop vite
- 30 Chap. VIII: Lazarik, je le vis
- 31 Lazarik, notre chef depuis
- 32 A coup sûr, Lazarik était
- 33 Après trente années d'amitié
- 34 Chap. IX: Le supplice du facteur
- 35 Pour Véronique, le supplice du
- 36 Valérie s'était efforcée de raisonner
- 37 Les lettres de Véronique qui
- 38 Chap. X: Déjà 13h45, et Tibor
- 39 Pandant que nous campions à
- 40 Trois fois, l'ordre de partir pour
- 41 Pendant que le bataillon Edgar André
- 42 Chap. XI: Les yeux fermés
- 43 Alors, tout s'était fait très vite
- 44 Pour Berger il allait de soi que
- 45 Quelques mois avant l'atroce et
- 46 Chap. XII: Lorsque les survivants
- 47 Je marchais au pas, avec tous les
- 48 Chap. XIII: L'amitié comme l'amour (CD 3)
- 49 Pendant que les avions italiens
- 50 Chap. XIV: Au loin s'élevait le
- 51 Bien que depuis un mois on ne
- 52 La Renault roulait dans une ténèbre
- 53 Hierro contourna la voiture
- 54 Chap. XV: A cause d'Aurora
- 55 Les années de solitude n'avaient
- 56 Il s'était rappelé soudain
- 57 Chap. XVI: "Des rentiers, des fossiles"
- 58 Tout s'était brusquement précipité
- 59 A Cahors, tout le monde connaissait
- 60 Chap. XVII: La grosse horloge du
- 61 Plaza Mayor, la colonne disloquée
- 62 Debout à contre-jour, caressée par
- 63 Cette même Aurora, je l'attends
- 64 Chap. XVIII: Parvenu près de la grille (CD 4)
- 65 Que tout cela était absurde !
- 66 Brice tira Lortigier de cette situation
- 67 Chap. XIX: Sans dire un mot
- 68 Le lit occupait le fond de la chambre
- 69 Chap. XX: Oui, il se rendrait à Paris
- 70 Lionel repoussait sa chaise
- 71 Madame Villerot rouvrit largement
- 72 D'un geste rapide qui le surprit
- 73 Lortigier fut bouleversé
- 74 Lortigier se reprocha d'avoir remis
- 75 Chap. XXI: Depuis plusieurs jours
- 76 En attendant que Kovarov
- 77 Lazarik sentit une main pesante
- 78 Avant de regagner sa voiture
- 79 Pendant deux journées
- 80 Chap. XXII: Deux heures dix, Lionel
- 81 Atterré soudain de se sentir de si peu
- 82 Chap. XXIII: Un survivant, oui...
- 83 Un jour, al'arrière, Lortigier, l'avait
- 84 Chap. XXIV: Invisible, bruissante
- 85 L'ivrogne venait de lever son verre. Fin. 22 octobre 1976
