JO HA KYU

Le violoncelliste parisien Gaspar Claus à la rencontre de la scène japonaise et dans l'imaginaire de la musique traditionnelle et moderne nippone. Avec Gaspar Claus (violoncelle), Eiko Ishibashi (voix, piano, batterie), Keiji Haino (voix), Kakushin Nishihara (voix, satsuma biwa), Ryuichi Sakamoto (piano), Hirochimi Sakamoto (violoncelle électrique), Sachiko M (sine wave) Otomo Yoshihide (platines disques), Leonard Eto (percussion), Kazutoki Umezu (saxophone ténor), Kazuki Tomokawa (voix, guitare).

JO-HA-KYU désigne une idée de modulation et de mouvement appliquée à une large palette d'arts traditionnels japonais. Traduit approximativement par "début, rapide, rompre" cela signifie essentiellement que toutes les actions ou les efforts devraient commencer lentement, prendre de la vitesse et ensuite mettre fin rapidement. JO-HA-KYU a été utilisé dans de nombreux aspects de la culture japonaise, y compris l'écriture musicale, danse, théâtre, littérature et même l'art floral.

La culture japonaise moderne est impregnée, en partie, par une gestuelle ancestrale, et c'est particulièrement évident dans la musique de l'avant-garde actuelle.