
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Gonzalo Tamayo, madrilène d'une trentaine d'années, poursuit toujours ses études de philosophie, sans grande conviction. Au tournant de sa vie d'adulte, Gonzalo pense qu'un obstacle entrave son aspiration à réinventer sa vie : on ne lui a jamais demandé son consentement pour être baptisé ! Il décide donc d'apostasier et entreprend des démarches pour être radié des livres de l'Eglise. Il voit dans cette rupture radicale la fin de ses tourments et de son attachement à sa mère. Il entre alors dans une course folle, de prélat en cardinal, entraînant dans son sillage un doux chaos. A travers cette quête irraisonnée aux yeux de tous, il revisite son passé et est envahi par de drôles de visions. Va-t-il accéder à sa liberté ?
Entre fable absurde à la Buñuel et conte philosophique façon Italo Calvino, le troisième long du réalisateur de "La Vida Útil" est une réussite : il rend distrayante une crise existentielle ! [Première]
Entretien avec le réalisateur - Courts-métrages de Federico Veiroj : "Too Much Diving" (1998 - 3 min) / "Toucher, limer, débrider" (2013 - 13 min).
Avec
Réalisation
Production
Scénario
Équipe technique
- Mónica TEIJEIRO : Costumes
- Fernando FRANCO : Montage
- Arauco H. HOLZ : Photographie