À LA FIN DE L'ENVOI...

Le rappeur français Syrano, à l'époque de son album Le goût du sans (2009), se revendiquait de Brassens et de Brel comme influences majeures. Il avait trouvé un bel équilibre entre rap et chant. Avec ce nouvel opus, Syrano revient avec une galette qui a choisi de s'exprimer avant tout et surtout en rappant. Hormis quelques titres ("De la femme" qui appelle au respect des femmes, "Les zombies" qui critique la société de consommation), il déçoit en prenant les manières d'un rap somme toute assez caricatural. (GD)